Les 4 .be préférés de Laurence Bibot

Surfer et faire des achats en ligne en toute tranquillité ? Vous pouvez le faire sur un site web se terminant par .be. Nous avons demandé à Laurence Bibot, comédienne, ses quatre adresses web belges préférées.

Nous ne ferons pas l’injure aux lectrices et lecteurs de leur présenter Laurence Bibot. Car depuis son premier seule en scène – La Velue au TTO (Théâtre de la Toison d’Or) – ou ses apparitions en Miss Bricola chez les Snuls ou dans JAADTOLY avec Fred Jannin et Stefan Liberski sur Canal+ Belgique, elle n’a jamais cessé de nous secouer de rire et d’émotion. Nous avons interrogé cette grande dame à l’humour aussi élégant que décapant sur ses loisirs et les sites internet qu’elle consulte pour les pratiquer.

« Mon hobby? Mon travail. »

Laurence nourrit une véritable passion pour son métier puisque quand on lui demande quel est son hobby, elle répond sans hésitation : « Mon travail ! ». Peu importe le projet, qu’il s’agisse d’un spectacle (Bibot Distinguée), d’une comédie d’anticipation radiophonique (Zéro Mort) ou de ses chroniques hebdomadaires pour les émissions Entrez Sans Frapper sur La Première (RTBF) et Par Jupiter ! sur France Inter – pour ne parler que des plus récents –, elle se plonge avec les mêmes délices dans la recherche d’informations pour alimenter son écriture inventive.

Pratique à l'ancienne et technique moderne

Comme la plupart d’entre nous, c’est sur internet qu’elle puise ces informations. Selon quels critères les retient-elle ? « Je travaille ‘à l’ancienne’, en partant des sites des journaux auxquelles je suis abonnée, comme lesoir.be. Ils me servent de référence pour en savoir plus sur des sujets qui m’intéressent à titre personnel ou pour me documenter sur ceux que j’évoque en radio. J’effectue donc mes tris par thématique et également par auteur, parce que je suis évidemment plus encline à sélectionner les infos rédigées par des personnes avec lesquelles je me sens en phase. » Laurence Bibot cite par exemple Bertrand Henne, journaliste à la RTBF, dont on trouve les chroniques sur le site de La Première ou encore sur Auvio. « Un site très intéressant parce tous les programmes télé et radio de la RTBF y sont répertoriés, ce qui facilite la recherche d’infos précises sur un fait. »

Multiplier les sources

Si elle a ses sites de prédilection, comme celui du journal Le Soir, de la RTBF ou encore de la SONUMA (véritable mine d’or qui regroupe toutes les archives audiovisuelles belges francophones), Laurence conseille de toujours recouper les informations recueillies. « À moins bien sûr d’avoir juste envie d’être choqué ou en colère – auquel cas on peut s’en tenir à une seule info –, l’idéal est de consulter plusieurs sources si l’on veut connaître la vérité sur telle ou telle chose, le contexte, bref, s’informer sérieusement. »

Identifier la provenance du contenu

Laurence Bibot a-t-elle une astuce pour repérer les sites fiables et ceux qui le sont moins ? « Lorsque les résultats d’une recherche s’affichent, le nom de l’éditeur voire son logo sont indiqués. La source est donc clairement identifiable et identifiée. Je peux alors décider en toute connaissance de cause si cela vaut la peine que je lise le contenu ou s’il s’agit juste d’une info racoleuse. »

Cette astuce vaut non seulement pour les faits de société et actualités dont la comédienne et auteure s’inspire pour son travail, mais aussi pour n’importe quel autre domaine de recherche. Par ailleurs, les sources consultées ne doivent pas nécessairement être des sites internet : « On peut également interroger des personnes autour de soi en qui on a confiance pour savoir si elles sont contentes d’un achat, d’un produit, d’un service, d’un restaurant, d’un lieu de vacances… » Ou d’un site internet… pourrait-on ajouter pour conclure.

Retrouvez Laurence Bibot

… en radio sur La Première, Entrez sans frapper, chronique J’entends des voix

… en radio sur France Inter, Par Jupiter !, chronique La voix des Belges

 

DNS Belgium fait beaucoup pour assurer la sécurité d’internet en Belgique :

  • Nous vérifions les données de chaque personne qui souhaite acheter un .be.
  • Nous informons les titulaires de noms de domaine si nous remarquons quelque chose de suspect (phishing, malware, etc.).
  • Nous travaillons en étroite collaboration avec le SPF Economie pour mettre hors ligne les sites web non fiables dans les 24 heures.

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