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Notre empreinte climatique continue à diminuer

21 juin 2024

Chaque année, Ecolife calcule l'empreinte climatique de DNS Belgium. Son rapport nous permet de conclure que nous nous en sortons bien. En 2023, l'empreinte climatique de DNS Belgium est de 124,7 tonnes de CO2eq, 4,08 % de moins qu’en 2022.

Notre empreinte climatique est mesurée dans le cadre de notre politique de durabilité. L'empreinte climatique d'une entreprise quantifie l’impact des activités de celle-ci sur le réchauffement climatique. Il s'agit d'une mesure importante de notre performance en matière de développement durable. 

Une baisse de 4,08 % par rapport à 2022 est évidemment un bon résultat. Ecolife enregistre en outre une diminution de 33,16 % par rapport à 2019 (187 tonnes CO2eq), l'année de référence avant la pandémie COVID-19.  

  • Par ETP (équivalent temps plein), l'empreinte est de 3,4 tonnes CO2eq. 
  • Par nom de domaine, l'empreinte est de 72 grammes CO2eq.

Dans son calcul, Ecolife divise notre empreinte climatique en trois catégories :

Scope 1 (émissions directes) : comprend les émissions directes de gaz à effet de serre au bureau ou à partir des véhicules de société. Cela comprend la consommation de carburant pour le chauffage, les machines et la mobilité, ainsi que les fuites de gaz réfrigérant des systèmes de climatisation. Le scope 1 représente 33,65 % de nos émissions.

Scope 2 (émissions indirectes liées à l'électricité) : comprend les émissions indirectes de gaz à effet de serre provenant de la consommation directe d'électricité achetée sur le site (y compris celle de nos centres de données). Ces émissions indirectes ne représentent qu'une faible part de nos émissions totales (8,16 %).

Scope 3 (autres émissions indirectes) : comprend toutes les autres émissions indirectes. Il s'agit des émissions liées à la production de produits achetés (biens et services), au traitement des déchets, aux navettes domicile-travail et aux déplacements de service avec nos propres voitures, ainsi qu'aux déplacements des visiteurs. Le scope 3 représente 58,18 % de nos émissions.

Légère augmentation de la consommation d'électricité

L'impact des voitures de société a visiblement diminué en 2023. En remplaçant les véhicules diesel et à essence par des voitures électriques, nous avons réalisé une diminution de 8,18 % dans le scope 1 : de 41,4 tonnes CO2eq à 31,03 tonnes CO2eq. L'augmentation du nombre de voitures électriques a entraîné un déplacement des émissions vers le scope 2.

À noter dans le scope 2 une augmentation très importante de 168 %, essentiellement liée à la recharge des voitures : nous avons consommé plus d'électricité pour recharger nos voitures en 2022. Comme Ecolife utilise une méthode plus précise pour déterminer la consommation d'électricité dans les parties communes de notre immeuble de bureaux, on constate une augmentation dans ce domaine également. Étant donné que le scope 2 représente à peine 8 % de nos émissions totales, l'augmentation en termes absolus est assez limitée. Il s'agit d'une hausse de 6,38 tonnes CO2eq, qui est plus que compensée par ce que nous émettons en moins dans les scopes 1 et 3.

Diminution de moitié du trafic aérien 

Dans le scope 3 - qui représente la majeure partie de notre impact sur l'environnement – l’on observe à nouveau une diminution de 10,76 %, essentiellement liée à un nombre moins important de voyages en avion. En 2023, nous avons parcouru deux fois moins de kilomètres qu'en 2022. Les voyages en avion ont représenté 6,33 tonnes CO2eq.

Alors que la consommation des voitures de société relève du scope 1 (combustibles fossiles) ou du scope 2 (voitures électriques), les navettes domicile-travail et les déplacements professionnels avec nos propres voitures ont toujours le plus gros impact sur le scope 3. L’on constate une minuscule diminution de 1,4 CO2eq en 2023 par rapport à 2022, qui s'explique par le fait que nous travaillons moins à domicile en 2023 (47 %) qu'en 2022 (65 %).

Et demain ? 

En rendant notre flotte plus durable, nous continuerons à réduire notre empreinte climatique dans les années à venir. Le budget mobilité, grâce auquel nos employés peuvent échanger leur voiture de fonction contre d'autres avantages, peut produire un impact significatif à cet égard. 

En continuant à encourager le vélo et les transports publics, nous pouvons également réduire davantage encore notre empreinte dans le scope 3. 

Notre nouveau plan d'action climatique pour 2025-2030, disponible d’ici l’été, expliquera concrètement comment nous y parviendrons. 

Avec cet article, nous contribuons à réaliser ces objectifs de développement durable de l’Organisation des Nations Unies.